Arielle de La Tour d’Auvergne est une photographe française et genevoise d’adoption. Elle a étudié la photographie à Londres et à New York.
Elle démarre sa carrière photographique en France et a réalisé aussi bien des sujets pour des organisations internationales telle que “la Fondation Théodora pour les enfants” que pour des magazines tels que “Bilan”, “Montres Magazine”, “Monsieur” et plus récemment, “Voiles” et “Côte Magazine”.
Ses voyages sont source d’inspiration et lui révèlent la passion qu’elle porte au patrimoine. Au travers des thèmes qu’elle affectionne: arts, architecture, nature et culture, le patrimoine devient le fil conducteur de son travail.
En 2004, elle publie un livre en français et en anglais, “French America”, fruit de plusieurs années de reportages dans l’ancien territoire de Louisiane, qui nous raconte l’histoire des français aux Etats Unis, au travers de l’angle particulier de l’architecture .
Elle découvre l’Argentine grâce à son père franco-argentin. Séduite, elle rend hommage à ce patrimoine au travers de ce qu’il a de plus précieux, sa terre. Un nouveau projet qu’elle appelle: « Terre Argentine, un trésor, une culture ».
Arielle réalise aussi des travaux plus abstraits, notamment “Les quatre éléments” et n’hésite pas à explorer d’autres techniques que la photographie, telles que la peinture et le collage.
Matière, graphisme, jeux de lumière, portraits, chacun de ses projets lui permet de s’exprimer au travers d’angles qui lui sont chers. Les lieux, les personnes qu’elle photographie témoignent, transmettent, et racontent une histoire. Ce sont des passeurs. En 2018, elle-même devient passeur lorsque elle reprend les rênes d’un monument historique ayant appartenu à sa famille depuis 1467. Dès lors, Arielle ne raconte plus seulement des histoires, elle devient à son tour, acteur, passeur de l’Histoire, un passeur d’histoires.
Elle nous fait partager cette expérience en images au travers de sa dernière série: « Passeur d’Histoires ».